PARCOURS DE FEMMES
Comme protagoniste et comme témoin, Salma Boukir montre et interroge la place des femmes dans le syndicalisme algérien et le mouvement citoyen en Kabylie, en particulier lors du Printemps noir de 2001.
Immigrée elle-même, un temps en butte aux tracasseries et incohérences de l’administration française, elle a été responsable d’une agence de services à la personne de maintien à domicile de personnes âgées, avec plus de 100 salariées de plusieurs nationalités.
Son expérience donne à voir la part proprement humaine des trajectoires des femmes en émigration/immigration. Ce parcours, ces parcours de femmes, disent la « force qui va ».